Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (119)

Après avoir fait les folles avec la moto de Livia dans la côte de Champigny, Marie-Christine, Démone dans le milieu Gotique tatoué de la base du cou jusqu’à ses orteils nous invite chez elle là où je l’ai rencontré avant qu’elle retrouve son milieu quitté au moment de son mariage.
Je rencontre Annabelle déjà vue la veille son assistante et c’est dans la cuisine que j’arrive à me faire voir sa vraie nature.
Je la tiens dans mes bras lui enserrant un de ses seins pendant que je l’embrasse tendrement sentant que si je la brusque sa bonne éducation risque de tout gâcher.

Ma main libre se place elle aussi devant son tailleur et je lui caresse le sexe d’un mouvement tournant sans qu’elle semble s’offusquer.
Je sais que c’est gagné quand elle se retourne se libérant avec une certaine difficulté et nous pouvons ressouder nos bouches.
Je lui prends la main et je la place sur ma jupe, elle est maladroite car certainement inexpérimentée ce qui décuple mon envie d’elle car elle est certainement pucelle du moins des plaisirs lesbiens.
Être son initiatrice, quand je vois cette tête bien faîte et sûrement bien remplie pour tenir ce poste près de cette femme exceptionnelle elle aussi, quand je regarde la fonction atteinte malgré sa jeunesse tumultueuse je suis remplie de bonheur et surtout de fierté.
Je sens qu’il faut que je garde l’avantage que je viens d’acquérir et si je l’entraîne dans la salle qu’elle sera sa réaction devant Livia et surtout Marie-Christine.
Je dégraphe ma robe et par un mouvement de mon bassin je la laisse tomber au sol ne gardant pour le moment que mon chemisier.
Je place une jambe sur la chaise à mes côtés lui appuyant sur une épaule vers le bas.

• Suce-moi la chatte tu verras je coule comme une fontaine, tu vas aimer !

J’ai du mal à voir ses yeux qui pourraient me dire si elle apprécie de recevoir cet ordre mais elle se laisse glisser vers ma fente qu’elle embrasse lui donnant de petits bisous.



• Met ta langue petite salope, si tu crois que je vais jouir simplement par tes lèvres qui me caressent, on est mal barré.

Je suis volontairement agressive me souvenant du temps, pas très lointain, ou Valérie m’a appris à faire jouir une femme par une autre femme avant que j’apprenne à faire jouir les hommes par la grande salope que mon amie à faîte de moi.
Je sens que cette langue qui commence à écarter mes lèvres intimes appartient à ce genre de femelle prête à se révéler si elles sont prises en main et bien guidée.

• Voilà c’est mieux, aspire le jus qui sort de ma chatte grâce à toi,

Je sens que mes glandes se vident dans sa bouche, pas au point de Valérie qui si elle était à ma place en ce moment auraient déjà inondé le visage de celle qui en ce moment devient une nouvelle petite maîtresse que je vais pouvoir ajouter à la longue liste de mes conquêtes.
Et d’un seul coup, je plie ma jambe posée au sol car une décharge traverse mes reins au moment où ce petit bout de langue trouve mon clitoris.
Annabelle doit sentir qu’elle a trouvé le point sensible, mon point sensible car elle insiste me déclenchant un petit orgasme.
Je pense pouvoir avoir mieux mais je tiens que son contact avec une femme pour la première fois j’en suis certaine soit complète aussi je repose ma jambe, je sens sur mes lèvres et dans ma bouche le goût de ma cyprine qui a abondamment coulé.
Je lui dégraffe sa jupe, son chemisier et son soutien-gorge de petite fille sage lui laissant sa petite culotte, somme toute seule pièce un peu coquine avec son petit nœud rose.

• Assieds-toi sur la chaise, écarte tes cuisses, tu en as envie, ton regard me le montre.
• Te promènes-tu toujours sans petite culotte ?
• Marie-Christine a dû te dire ce que je fais et pourquoi elle m'a fait venir.

Elle éclate d’un petit rire espiègle.

• Bien sûr, c’est même moi qui es pris contact, je suis allée un jour sur votre site d’escorte car un soir où Marie-Christine était à un cocktail où je l’accompagnais j’ai entendu deux hommes très connus.


Elle me donne leurs noms et il est vrai que l’un d’eux est une personnalité bien connue.

• Ils parlaient derrière moi d’une Magali dont un avait passé la nuit avec elle, il disait de toi que tu étais la plus grande pute sur la place de Paris et il lui a donné le nom de votre organisation pour qu’il t’appelle.
• Suis-je si connue que cela dans votre milieu ?
• À savoir.

C’est deux mots m’interpelle, moi qui pensais être devenue une petite pute un peu salope il est vrai qui aime être heureux mais surtout rendre les autres heureux même si cela passe par un passage dans des lits moyennant finance.

• Sans le vouloir un jour qu’il avait plu j’étais ici alors qu’elle pensait que j’étais à son bureau elle est rentrée trempée et est allée directement dans la salle de bain enlever ses affaires, elle est sortie nue de la pièce d’eau en s’essuyant les cheveux et j’ai vu les dessins sur son corps, Elle a tous d’abord été surprise de me voir mais naturellement nous sommes arrivés à parler de sa jeunesse et de l’envie qu'elles avaient de retrouver l’atmosphère qui lui manquait.

Elle sait tout et moi qui la prenais pour une oie blanche.

• En début d’après-midi le standard de son bureau à passé ton appelle et c’est elle qui t’a répondue.

Tout le temps où je l’écoute je lui caresse l’intérieur de ses cuisses et je constate que sa culotte qu’elle a toujours se mouille à l’entrejambe.

• Tu m’as posé une question sur mon petit bout de tissus, il y a des mois que je l’ai enlevée, mes clients et clientes aiment me trouver disponible.

Assez parler, ma bouche vient à son contact et je commence par la lécher sans enlever le tissu.

• Attends, j’enlève ma culotte.
• Inutile regarde.

Je la prends dans mes dents par l’un de ses côtés et je tire, je m’y reprends à deux fois pour qu’elle se déchire me montant qu’elle est épilée intégralement.
Ma langue vient là où j’ai réussi à ce qu’elle me caresse tout à l’heure et je trouve son bouton bien rentré dans son capuchon.

Je sens ses mains se poser sur ma tête.

• Que fais-tu, j’adore me caresser mais par toi mon plaisir est plusieurs fois supérieur ?

Je me sers de ma main et de mes doigts pour écarter sa chatte et faire pénétrer deux de mes doigts.
En même temps qu’elle me le dit je sens son hymen qui résiste.

• Je suis vierge !
• Je m’en doutais, veux-tu que je te dépucelle.
• Peux-tu le faire ?
• Laisse-toi faire décontracte-toi.

Je sens qu’elle se décrispe alors j’enfonce mes doigts préalablement regroupés comme sait le faire si bien ma petite Anne, tout en reprenant mon léchage de clito, j’avance jusqu’au moment où tout cède en elle et j’avance de 10 bons centimètres sentant un goût de sang venir dans ma bouche en même temps que sa cyprine qui coule abondamment.

• As-tu eu mal ?
• Pourquoi ?
• Ton hymen a cédé.

Je pourrais essayer de la fister mais cette première fois doit être une réussite et je me contente de recourber mes doigts pour stimuler le haut de son vagin, je frotte énergiquement sa partie un peu plate ou certains disent que se trouve le point G.
Si c’est vrai je veux bien le concevoir quand un jet sort de sa chatte m’envoyant une grande giclée dans ma figure en même temps qu’elle doit jouir car les deux amies dans la salle ont dû l’entendre.

• Excuse-moi, je t’ai pissé dessus.

Elle me sort cette phrase tout essoufflée après avoir repris pied car sa jouissance la fait presque tourner de l’œil comme lorsque Anne va au fond de moi m’entrant l’intégralité de sa main en moi.

• Pas de panique, tu es une femme fontaine ce qui arrive à certaines femmes quand leur jouissance est trop forte, ce sont des glandes qui se vident, je te ferais rencontrer Valérie notre responsable de nos filles qui est systématiquement fontaine.
• J’ai eu peur, j’ai failli tourner de l’œil, es-tu sûre que tu m’as dépucelée ?
• Quand un homme te pénétrera tu verras que je t’ai ouvert à ta vie de femme.

• Tu crois qu’un homme voudra de moi, j’ai fait l'amour avec une femme.

J’éclate de rire.

• Il est trop tôt pour savoir si tu es lesbienne ou hétéro, quand je me suis mariée jusqu’à mon divorce ou Valérie m’a aidée comme toi tu as aidé Marie-Christine, quand elle m’a fait l’amour dans notre institut de beauté j’ai cru que j’étais moi aussi lesbienne par nature.
Viens conduit moi à la salle de bain que nous nous douchions.
• Et les petits fours ?
• Remets-les au four, ils sont froids…

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